quelques articles de presse et avis de lecteurs
les livres :
à propos de Contes pour du beurre
BRAVO pour ces contes facétieux, intelligents, riches de convictions qui grâce au genre choisi, deviennent légères, évidentes. Jeux de mots, néologismes, fantaisie et profondeur constituent votre style, l’hommage à Prévert est latent.
Monique T. lectrice et critique, Châtillon-le Duc
Je tiens à vous féliciter pour votre livre "Contes pour du beurre". Présentation très originale avec beaucoup d'humour, je me suis bien régalée. Ça fait du bien !
Christine C. employée bancaire Besançon
C’est brillant, amusant, parfois délirant. Et très actuel !
anonyme, dans ma boite mail...
Écrire des contes pour les grands et moyens est un défi en soi, cela exige une compréhension profonde de la complexité humaine, des émotions et des thèmes profonds. Vous avez ainsi réussi à me captiver avec des histoires riches, mélangeant habilement la réalité et la fantaisie pour créer des récits envoûtants qui résonnent avec l’expérience des adultes et des moyens.
J’y ai trouvé émerveillement, suspense, imagination débridée, et incertitude du chemin : vos contes offrent un parcours hasardé et mystérieux.Ne pas savoir où l’on va, crée une atmosphère d’aventure, semblable à celle que l’on pouvait ressentir comme enfant face à l’inconnu.
Mais ce qui rend votre livre encore plus exceptionnel, ce sont les illustrations.
Chacune est une manifestation visuelle de la magie des mots, un complément parfait à vos récits captivants.
Chaque détail minutieusement dessiné renforce l’immersion dans vos mondes imaginaires, apportant une profondeur et une beauté inégalées à chaque page. Collier de mots, de perles… Un bijou !
Merci pour cette ode à l’imagination — Des contes qui comptent !
Monsieur Guy P., Doubs, retraité
à propos de Potins et pousse-café
Une expérience de lecture très différente de celle que l’on trouve habituellement. Les histoires
soulèvent une jolie curiosité, de belles images, des métaphores, comparaisons, anaphores, répétitions, des assonances, des onomatopées, tout ce méli-mélo crée des images poétiques que j’ai bien
aimées. Vos visions du monde reflètent vos émotions et renforcent l’impact émotionnel du texte. Dans son ensemble, j’ai beaucoup aimé ce
délicieux bonbon
Guy P., lecteur Doubs
à propos de La lune et l'escalier
Le roman La Lune et l'Escalier relate dans une langue moderne et savoureuse quelques moments marquants de la vie d'une ouvrière, la cinquantaine, une sauvage râleuse au franc-parler, pourtant candide à souhait. Une vie de hauts de bas, dans un HLM crapoteux mais "C'est pas parce qu'on est des gens ordinaires qu'on n'a pas de grands rêves. Et un jour, c'est sûr, ils se réalisent. Ils se réalisent."
librairie Les Sandales d'Empédocle, Besançon
Une vie, toute simple, d'une femme, ouvrière plutôt pauvre et solitaire, puis chômeuse, et survient la déprime,
le désespoir même, puis la remontée, lente, avec des échecs, des ratés, des espoirs déçus, mais finalement une happy end qui n'a rien de mièvre. Belle réflexion sur la vie, appuyée sur des images
belles et des citations bien choisies qui replacent ce récit dans le cadre plus large d'une société qui tient les travailleurs pauvres pour quantité négligeable. Un peu à la manière de Colum
McCann dans “Apeirogon”, l'autrice émaille ce récit de notes historiques, en l'occurrence sur la conquête de l'espace et de la Lune. Des ajouts dont la pertinence n'est pas toujours évidente mais
cela ne m'empêche pas de recommander ce livre.
Jean-Pierre C. club lecture, critique sur Internet
J'ai lu "La Lune et l'Escalier" cet été. Le
fait de mettre en parallèle l'aventure de la conquête de la lune, ce qui relève de l'Histoire, avec une trajectoire, une "petite" histoire personnelle, singulière, préserve et sauve le récit de
la banalité, il lui donne son élan, et nous murmure en creux des expressions telles que "demander la lune" ou "décrocher la lune", quand le supposé inaccessible depuis des millénaires
devient accessible par les premiers pas humains sur la lune... Et puis, comme souvent dans les romans (je pense par ex. à Flaubert / l'Éducation sentimentale ...) ce sont les "digressions" qui
m'accrochent le plus. Une mention particulière au long passage concernant le vol sans heurt ni collisions des nuées d'oiseaux dans le ciel...
Bruno Berchoud, poète, internet
Je l’ai lu avec intérêt, contente de le retrouver après mes journées de travail. J’ai aimé la trame, un peu mystérieuse au départ, autour de la lune – avec les inserts sur la conquête spatiale – et d’un improbable lien avec l’univers géométrique et sériel des escaliers de la cité, qui se réagence à la fin pour devenir le puissant symbole de la renaissance de cette femme brisée, mais que le rêve tient debout. Le texte est riche de trouvailles stylistiques. On sent que vous aimez écrire.
Françoise, conservateur de musée, Paris
Ce qui me vient en premier c'est qu'on l'aime, l'héroïne, on aime la suivre. Et j'ai aussi aimé qu'il y ait autant de verdure, d'arbres, de fleurs, autant d'émerveillement, j'aime que ça soit un happy end, et un happy end pour une femme d'un certain âge. Parce que c'est vrai que la vie peut trouver son chemin à n'importe quel âge et c'est rarement dit dans les histoires. J’aime cette écriture particulière, saccadée, qui passe du coq à l'âne, du je au elle au on, avec les histoires de l'espace entrelacées (ça j'aime beaucoup), cette liberté, cette manière très imagée et concrète de raconter ce qui se passe dans sa tête, comment les pensées vagabondent et bifurquent, mais parfois j'ai trouvé ça un peu "chaotique" à recevoir, un peu rugueux, brut. Je me suis pourtant habituée et à la fin, j’ai aimé l'écriture, même saccadée, qui s’adoucit au fur et à mesure que sa vie s'adoucit aussi, ce qui justifie que ce soit rugueux pendant tout une bonne partie.
En tous cas un grand merci pour cette héroïne discrète, pour cette fée !
Suzanne B. artiste Besançon
Une
amie m'a gentiment offert votre livre La Lune et l'Escalier.
Je tenais à vous adresser toute ma sympathie pour votre œuvre que j'ai adorée, je l'ai lue avec beaucoup d'intérêt et de
plaisir.
L'écriture, le style, l'approche philosophique et réaliste des sujets de vie, la poésie, l'humour aussi.
Merci pour ce moment délicieux passé en compagnie d'un livre passionnant que sans conteste j'aurai plaisir à relire. Il
est tellement riche !
Lectrice Besançon
J'aime beaucoup votre inventivité, les rapprochements de mots et sonorités où vous excellez sans excès ni usage systématique... J'ai souvent songé au bisontin Yves Ravey et à votre commune approche des lieux, des gens et choses simples... Jeanne la bouseuse n'est pas dans le milieu qui lui convient mais elle s'y adapte peu à peu. Jeanne, sensible et à l'écoute, venue de la nature n'aurait jamais dû devenir ouvrière d'usine.
La Lune est pour moi l'histoire d'une kénose et d'une rédemption.
Hubert H. Besançon
Décidément j'aime bien et le texte, et la poésie avec laquelle vous parlez
des gens de peu. Ils ont besoin d'être reconnus, appréciés et pas toujours humiliés. Les auréoler de poésie est un bel hommage, qui nous fait lire en eux autre chose que de la consommation et de
la production. Votre travail sur la langue et le récit est vraiment intéressant (jeux avec les mots comme avec le rythme).
Monique T., professeure retraitée, Doubs
à propos de Vice Versa
Sens dessus dessous article Vu du Doubs mai 2011
Francine Dortel, auteure récemment de La Croque-Monsieur, se montre en grande forme dans les petites formes - dit-on - que sont les haïkus.
C'est beau mais n'allez pas croire pour autant qu'elle est devenue grave [...]. Son humour est toujours prêt à tirer le premier[...]. A moins qu'il ne se fasse doubler par son âme contemplative. En fin de compte, Francine Dortel nous met les sens sens dessus dessous et vice versa : "Rouge à lèvres lisse/ un baiser sur la joue/ de celui qui pique un fard".
Lectrice internet février 2011
le haïku à l'occidentale, pourquoi pas ? Quand il n'a pas la prétention d'égaler son modèle
japonais, qu'il affiche - comme vous le signalez avec humour au début du recueil - une certaine humilité, quand il frise parfois la perfection - quelques unes de vos petites pièces sont
délicieuses - , quand il se permet des libertés du côté de la satire, de la colère ou de la pirouette, alors je dis bravo.
Je ne suis pas très portée sur la poésie, mais rien d'ennuyeux dans votre recueil, vous me donnez envie de lire d'autres choses de vous
Est républicain
11 décembre 2010
à propos de La Croque-Monsieur
Après avoir lu les nouvelles de La Croque-Monsieur (grands cieux de nom de Dieu) je suis en mesure d'affirmer urbi et orbi que votre écriture est inventive (pas naïve et sans esquive) [...]
Hubert M., lecteur Besançon
Lectrice internet octobre 2011
J'ai beaucoup aimé vos nouvelles, je les trouve très vivantes, drôles, les récits sont dans
des styles différents, et on sent que vous vous amusez beaucoup quand vous écrivez et, franchement, vous ne manquez pas d'imagination !
En Vadrouille 2010, n° 8, magazine
Des nouvelles piquantes et curieuses, des situations cocasses ou dérangeantes, des
personnages aussi vivants que nature, poignants ou étranges. Et une belle écriture au service de ces rencontres
Est Républicain 9 mai 2010
bibliothèques municipales de Besançon, sélection 2010
quatorze nouvelles acides, pertinentes, cruelles et parfois crues, ayant pour thème le
regard qu'une femme dessillée au fond romantique, porte sur les hommes : loups solitaires ou hordes grotesques faussement policées.
Une très belle alchimie de mots, de rythmes, de sens. Un style joyeux, aimant l'amer. Francine Dortel danse avec la langue comme une funambule sur une lame de rasoir. Un régal !
Une lectrice de Dijon, Internet avril 2010
Ah ! les yeux sont coquins, brillants, perçants alors l'esprit que lui reste-t-il ? de l'espièglerie, de la subtilité, de la loufoquerie et tant de sensibilité, il y a aussi du grivois et déjà le lecteur salive alors que d'autres s'humidifient... bref, je ris à coeur joie, je croque à pleines dents l'ouvrage et l’épaule de mon amant ( c'est pas si souvent...). Je vous remercie de tant de beauté & de créativité dans ce monde si désenchanté !
Une lectrice de Lyon, Internet mars 2010
Pour ma part j'ai aimé, très surprise de me faire happer par ces mots, j'en suis à ma seconde lecture !
Une lectrice de Bourg-en-Bresse, Internet février 2010
Je me régale ! Votre écriture avec ses jeux sur les mots au coin d'une phrase, ses touches impressionnistes merveilleusement suggestives, c'est du bonheur!...
les ateliers, interventions, etc. :
Est Républicain janvier 2012
Est Républicain 19 décembre 2012
Ecriture Avec la romancière-nouvelliste
Les ateliers de Francine Dortel
IL règne un petit vent de folie dans ces ateliers-là, où sont invités la confiance en soi, le rire, la réflexion, le plaisir de faire pétiller les idées et les mots, de partager ses textes avec les autres, d’être écouté et accepté. Plaisir également d’apprendre sur la littérature, sur les auteurs. Mais rien à voir avec l’écriture académique et les mauvais souvenirs d’école, la critique négative n’a pas là droit de cité !
Même les contraintes proposées par Francine Dortel, ce samedi 15 décembre, sont ludiques et occasions de libérer l’imaginaire, d’essorer les mots, d’en extirper des images étonnantes, des émotions riches, des textes intenses. Liberté d’exprimer ce que l’on sent, via une grande diversité de jeux d’écriture. Ainsi aucune lassitude, aucun découragement
Et souvent, quel étonnement devant la qualité et la variété de ce que l’on a écrit à partir d’un même thème !
Un atelier mensuel pour le moment, ouvert aux adultes, et qui a lieu le samedi de 14 h 30 à 17 h à la Maison de Velotte. Mais il serait question de créer d’autres séances, tant l’amour des histoires est vivace au cœur humain.
Pour de plus amples informations contacter le 03.81.52.79.15 ou visiter le site www.francinedortel.jimdo.com
Est républicain septembre 2011